En premier lieu, les jeunes avec un emploi ont l’avantage d’être beaucoup plus autonome  puisque le marché du travail est un très  bon terrain de jeu pour apprendre rapidement et efficacement des principes essentiel dans la vie de tous les jours : Ils apprennent comment gérer leur l’argent et ils apprennent a biens gérer leur temps pour être efficace aux études en même temps qu’au travail. Les jeunes avec un emploi peuvent subvenir à leurs propres dépenses et, selon moi, c’est une des choses qui favorise l’autonomie énormément puisqu’ils réalisent que tout a un prix et que, s’ils veulent avoir de l’argent pour plus tard, ils ont besoin d’épargner. Chaque personne a besoin d’apprendre ces choses et s’il est possible pour les jeunes de les apprendre plus tôt dans leur vie à cause de leur travail, je trouve aucune raison pour interdire les jeunes d’obtenir un emploi.

En deuxième lieu, le marché du travail chez les jeunes étudiants est bon pour chacun de ces jeunes puisque c’est un outil pour eux de connaitre le monde du travail dès un jeune âge pour ensuite savoir à quoi s’attendre lorsqu’ils auront atteint l’étape d’entreprendre un vrai emploi. Ça permet aussi aux jeunes de se faire une idée sur ce que les intéresse comme domaine d’étude et de travail. Avec l’expérience qu’ils auront obtenue grâce aux divers emplois qu’ils ont eu lors de leur jeunesse, les futurs travailleurs vont beaucoup mieux s’adapter aux marché du travail que s’il n’avaient pas eu le droit de travailler

Depuis très longtemps, l'argent a toujours été sous la forme de billets de papiers et en monnaie. Aujourd'hui une autre forme d'argent a été mise en place: la carte de guichet. La carte est plus écologique que les billets et la monnaie et on se demande s'il sera bien de le faire remplacer complètement. Je crois sincèrement qu'il sera avantageux à long terme de remplacer l'argent comptant par la carte de guichet parce que premièrement c'est meilleur pour l'environnement et deuxièment c'est beaucoup plus facile à gérer.

Bonjours à tous. Suite à la lecture de <<Les soutanes vertes débarquent>>, j’ai pris les devants en vous faisant part de ma réaction à propos de ce texte en utilisant ce  merveilleux blog qui devient de plus en plus populaire chez les jeunes étudiants studieux du Séminaire de Sherbrooke. Je vous prie de lire mon blog afin de vous renseigner sur certains propos en lien avec l’environnement. 

En premier lieux, je tiens à vous dire que je suis tout à fait en accord avec l’auteure en ce qui concerne le fait que la culpabilisation n’est pas un bon moyen pour inciter les gens à faire des choix plus vert dans leur vie privée. Si les gens se sentent culpabilisés, certains, tout comme moi, se sentiront provoqués et, par conséquent, choqués. Mme Vachon donne un très bon exemple de ce à quoi ressemble la culpabilisation que certains écolos utilisent comme mesure incitative.  Je cite << De passage chez des amis à Matane, j’ai vu récemment un segment d’émission télévisée d’ici dans lequel une équipe de soi-disant écolos analysait la consommation d’une petite famille et faisait des suggestions vertes. Jusqu’à la, ça allait, mais tout a basculé quand la mère de famille a fini par avouer un gros péché : elle faisait sécher des vêtements à la sécheuse. Ensuite, on a montré en gros plan le visage de la dame sur lequel on a superposé en rouge le mot <<coupable>>. >> Je partage le même sentiment qu’elle quand elle dit que les soutanes vertes font horreur.

Oui, c’est important de faire des choix verts, mais n’est-ce pas également important pour vous chers étudiants que vous vous sentiez bien, que vous fassiez des actes verts par vous-mêmes et que ce soit quelque chose que vous ayez à cœur et non pas pour éviter la culpabilité ? Les écolos extrémistes risquent de faire déraper le message vert et de décourager certaines personnes au point de les inciter à faire le contraire des choix verts en raison de l’approche choquante qui est utilisée.